« Salomé, tête coupée | Page d'accueil | Lune décollée »
20/07/2007
Runaway Salomé
07:35 Publié dans | Lien permanent
Commentaires
Bonsoir,
Je viens de découvrir votre site et je suis vraiment ravie de le visiter. Ca fait vraiment plaisir de voir qu'il y a des personnes qui s'intéressent au mythe de Salomé, mythe que je trouve extrêmement fascinant. Etudiante, j'avais rédigé un mémoire sur ce personnage hypnotisant ("Le Mythe de Salomé dans la littérature et la peinture d'une fin de siècle") et là, j'explore votre blog que je trouve très beau.
Je crois que le texte que je préfère est celui de Mallarmé. J'aime beaucoup cette Hérodiade qui apparaît telle une icône de la virginité, virginité glaciale à l'infini et qui correspond à cette quête de l'Idéal...
Bonne continuation
Écrit par : Fan-de-Lynch | 24/07/2007
Silencieux mais bien vivant. Que deviens-tu, fugitive Salomé ?
Écrit par : Sébastien | 25/07/2007
Non? The door is open ? Smile.
Vous êtes attendue avec Monsieur à Maison Rouge. N'oubliez pas !
J'aime beaucoup ce que vous faites.
Écrit par : Blog-trotter | 25/07/2007
Mince ; une fuite la porte laissée grande ouverte ! L'occasion, donc, de vous saluer, messieurs, en une pirouette voilée, et de vous remercier, chère Fan de Lynch. Comme vous le caractère virginalement glacé de la Salomé de Mallarmé m'enchante - mais ce sont là travaux d'hiver, l'Idéal estival du poète ayant été de courir les champs avec quelque Faune d'après-midi. Courez-y vite, cher B.T., le bonheur semble tout proche de votre Maison Rouge... Ici la "non saison" printanièrautomnale serait donc aphasie, mais c'est une autre histoire.
Écrit par : Salomé | 27/07/2007